Comment apprendre à ne plus s’auto-saboter ?

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“Nous sabotons des opportunités dans nos vies parce qu’au fond nous croyons que nous ne méritons pas d’avoir de telles choses.” – Taressa Riazzi

La semaine dernière, je lisais un article sur le Forbes expliquant pourquoi il n’y avait pas plus de femmes dans les conseils (d’entreprise, etc). Le sujet ne m’intéressait pas plus que ça, mais un petit extrait a attiré mon attention.

Après avoir rencontré les Maria Klawes du monde – les femmes qui ont atteint le sommet de leur professions – nous avions presque l’impression d’être des superstars internationales, pour avoir eu le privilège de s’entretenir avec la fondatrice d’une firme dans le top 500 des fortunes aux USA, ou la PDG de l’une des meilleurs entreprises technologique de la Silicon Valley, ou encore une gérante du top 10 des organisations AwLaw.

En tant que blogueuse sur Forbes, j’ai contacté des dizaines d’hommes et de femmes pour commenter les événements de l’actualité avec leur expertise. Plus de la moitié des femmes outrageusement sur-qualifiées avec qui j’ai discuté, m’ont dit qu’elles n’étaient pas assez expertes pour commenter.

Aucun homme ne m’a jamais dit ça, même s’ils étaient beaucoup moins qualifiés que ces femmes qui hésitaient, en justifiant qu’elles n’étaient pas assez douées pour ça.

Source : La vraie raison pour laquelle il n’y a pas plus de femmes au sein des conseils (en)

Ce qui est intéressant de relever, c’est que ces personnes approchées par la blogueuse ont estimées qu’elles n’étaient pas suffisamment expertes pour commenter. Et cela, malgré le fait d’avoir déjà été triées sur le volet par l’intervieweuse elle-même !

Imaginez que vous ayez été repéré par un recruteur d’une entreprise prestigieuse lors d’un événement. Croyant que vous seriez un bon candidat pour une nouvelle fonction de l’entreprise, il vous demande de venir à son bureau le lendemain pour une entrevue.

Non confiant en vos capacités, vous dites alors au recruteur que vous n’avez pas les compétences adéquates en lui faisant perdre toute envie de vous embaucher, même si vous souhaitiez intérieurement être pris(e) pour ce travail.

N’est-ce pas là un grand gâchis ? S’il y a un recruteur – dont le métier est d’identifier les personnes avec les talents qui correspondent aux besoins de l’entreprise – vous disant que vous avez tout ce qu’il faut, ne devriez-vous pas être ravi(e) de cette opportunité ? Ne devriez-vous pas sauter toute de suite sur cette occasion, qui ne se reproduira pas de si tôt dans votre vie ?

L’exemple ci-dessus est vraiment particulier, et peu de gens refuseraient une telle opportunité. À vrai dire, vous pensez sans doute qu’il serait mal avisé de dire non dans cette situation.Vous pensez peut-être aussi que vous ne feriez jamais quelque chose d’aussi stupide que ça.

Pourtant, la plupart d’entre nous ont ce même comportement d’auto-sabotage dans notre vie quotidienne, sans s’en rendre compte.

Mon expérience personnelle avec l’auto-sabotage

Il y a quelques années, j’avais cette petite voix qui me disait de ne jamais écrire un article ou un lancer un projet, sans qu’il ne soit le meilleur, le plus compréhensif, et le plus complet article/livre sur ce sujet – à tout jamais. Certains pourraient appeler cela du perfectionnisme (pour être gentil) ou bien de la névrose.

Bien que cette mentalité avait un bon fond – après tout je voulais ce qu’il y avait de mieux pour les autres – elle est vite devenu très contraignante. Toutes ces prémisses d’idées qui me venaient à l’esprit, finissaient à la poubelle parce que je ne me sentais pas capable de couvrir ces sujets. Ma voix intérieure me dictait que ces idées n’étaient qu’éphémères et incomplètes (ou plutôt, pas assez bonnes), pour être publiées en tant qu’articles sur ce site.

Je n’avais jamais réalisé qu’écrire à partir de simples idées, sans couvrir tout le sujet, pouvait également être ressourçant pour mes lecteurs. C’était stupide; puisque j’ai perdu des dizaines d’articles potentiels de cette façon. Ces articles auraient pu par la suite, positivement impacter des centaines voire des milliers de personnes. Un véritable gâchis.

Enfin à un moment j’ai eu un déclic, je me suis demandé : Et si mes pensées et idées du moment aidaient ces gens, qui suis-je pour juger qu’elles ne seraient pas assez utiles pour eux ?

Clairement, cette voix qui me disait “tout doit être parfait”, “tout doit être complètement abordé et développé” me limitait énormément. Cela m’empêchait d’aider les autres, alors que ce site avait été créé dans ce but. Non seulement j’étais en train de desservir les autres, mais je me desservais moi-même aussi.

En réalisant cela, j’ai pu me concentrer sur une vision plus globale : ma passion d’aider les autres à se développer. Depuis ce moment, je mets un point d’honneur à contre-vérifier mes croyances régulièrement, afin de m’assurer qu’elles me soutiennent dans mes buts.

Si jamais je ressens des peurs, insécurités ou blocages personnels qui se dressent sur mon objectif d’aider les autres, alors il est temps pour moi de remettre en question ces croyances et de les briser.

Les pièges insidieux de l’auto-sabotage

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Ramenons cela quelques instants à vous. Il y a-t-il eu des moments où vous avez rejeté des opportunités, parce que vous pensiez que vous n’étiez pas assez qualifié ? Des moments où vous avez compromis vos chances de succès à cause de vos croyances qui vous limitent ? Des moments où vous faisiez un pas en avant et un pas en arrière, juste parce que vous aviez peur de faire quelque chose ?

Dans ce cas-là, pourquoi vous-êtes vous lancé là-dedans en premier lieu ?

L’auto-sabotage est partout, cela peut être une personne qui dévalue volontairement ses réalisations dans son CV parce qu’elle ne veut pas paraître pompeuse devant les autres (croyance auto-limitante). Quelqu’un qui travaille dur pour perdre du poids, puis qui le regagne à travers ses mauvaises habitudes alimentaires.

Un vidéaste en herbe qui refuse d’enregistrer ses vidéos, parce qu’il attend qu’un million de choses soient en place d’abord. Un grand artiste qui continue de voir ses dessins comme un passe-temps, parce qu’il croit que personne ne sera intéressé par ce qu’il a à partager.

Mais vous savez le pire ? Votre auto-sabotage arrive à vous convaincre de sa raison d’être. Si vous ratez votre entretien d’embauche après vous être dévalué, vous penserez en effet que vous n’avez pas ce qu’il faut pour l’emploi en question. C’est un peu comme s’attacher les jambes puis après être tombé quelques fois en voulant marcher, se dire que nous ne sommes pas capable de marcher.

C’est pourquoi, après avoir examiné beaucoup de comportements d’auto-sabotage chez les gens, j’ai découvert deux tendances communes.

Tendance °1 : Chaque comportement d’auto-sabotage est toujours justifié par une raison

Peut-être que vous êtes lancé dans l’écriture, mais vous refusez d’écrire votre nouveau livre parce que vous voulez d’abord vous sentir inspiré, enthousiaste et détendu. Peut-être que vous voulez perdre du poids, mais vous sabotez votre régime avec de la malbouffe parce que votre famille ne mange que ça, et que vous pensez ne pas avoir d’autres options (est-ce vraiment la vérité ?).

Peut-être que vous souhaitez créer une chaîne de vidéos et partager vos connaissances avec le monde, mais vous mettez cela de côté parce que vous voulez avoir le bon équipement, les bons réglages, le bon accoutrement, ET que tout soit absolument parfait et à sa place d’abord (mais pourquoi ?).

Pour chaque comportement d’auto-sabotage, il y aura toujours une bonne raison de ne pas faire ce que l’on souhaite, et celle-ci sera soutenue par de multiples autres raisons logiques en apparence. Ces justifications protègent le comportement de sabotage et l’empêche d’être remis en question par d’autres opinions, que ce soit la votre ou celle des autres.

S’attaquer à ce comportement revient alors à traverser un labyrinthe d’auto-justifications dans votre esprit. Imaginez cela comme résoudre un Rubik’s cube, mais dans votre esprit. Chaque fois que vous bougez une pièce, une autre vient entraver votre chemin.

Pourtant ce ne sont que des fausses raisons, il vous suffit de regarder autour de vous pour découvrir des contre-exemples. Si ce qui vous empêche d’agir est réel, alors personne ne pourrait agir dans les mêmes circonstances. Pourtant certains arrivent à écrire sans attendre l’inspiration, d’autres arrivent à manger sain malgré que leur entourage ne les soutient pas dans leur choix. Et vous trouverez d’autres exemples au fil de vos recherches qui détruiront peu à peu ces fausses croyances.

Tendance n°2 : Nous sommes très doués pour justifier notre auto-sabotage

Il m’a fallu du temps pour de ne plus me retenir de partager ce que je savais, avec les autres. J’avais conscience que je devais le faire à un moment ou à un autre, mais j’ai toujours cru que ce n’était pas le bon moment. À chaque fois que je me disais : “Ce n’est pas encore le bon moment. Je le ferai la prochaine fois.”

Le problème c’est que ce n’était jamais le bon moment. J’avais des millions de raisons pour me l’auto-justifier. “Je dois en savoir plus sur tel ou tel sujet.”, “le site doit disposer de telle ou telle fonctionnalité d’abord”, “je dois changer tel graphisme”, “je dois savoir gérer le serveur, le blog, m’intéresser à la documentation…”

Lorsque j’ai finalement lâché prise et commencé à diffuser ce que je savais jour après jour, j’ai enfin réalisé que je me bridais moi-même depuis tout ce temps. Que j’aurais dû faire cela depuis longtemps, parce que cela m’apporte aussi énormément.

Pour la première fois depuis un long moment, je passais enfin mon temps à contribuer au cœur de ma passion : la création de contenu. Pas à administrer, ni à gérer le graphisme ou faire toutes ces choses annexes bien moins importantes.

Cet événement m’a fait réaliser à quel point l’auto-justification et l’auto-sabotage peuvent être compliqués à cerner. Bien souvent, nous arrivons même expliquer nos actions aux autres. Nous pouvons les convaincre que ce que nous faisons est vraiment ce qui doit être fait.

Oui, l’auto-sabotage est un piège sournois. Il est insaisissable, insidieux. Il peut se faire passer pour quelque chose de juste et de bon, alors qu’en réalité il est mauvais et autodestructeur. Si vous voulez surmonter les comportements d’auto-sabotage, VOUS devez être cette voix intérieure qui intervient pour dire : “Hé, ce n’est pas vrai !”.

Vous êtes la seule personne qui peut le faire, parce que vous seul connaissez les labyrinthes de votre esprit. D’autres peuvent vous dire ce qu’ils en pensent, mais tant que vous ne ferez l’effort vous-même de vous sortir de cette mentalité… Votre auto-sabotage continuera à se justifier lui-même et à tourner en boucle, encore et encore.

Comment vaincre l’auto-sabotage ?

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Que faut-il faire pour vous sortir de cet auto-sabotage ? Nous allons le voir dans les 4 points suivants :

1. Soyez votre propre maître

Premièrement, si vous souhaitez réellement corriger l’auto-sabotage, vous devez être le maître de vos pensées, actions et décisions.

Cela veut dire que dans tout ce que vous faites, soyez prêt(e) à vous demander : “Est-ce que cela me sert ? Est-ce que cela va m’aider à atteindre mes buts ? Suis-je en train de me limiter de quelque façon que ce soit ?” Soyez plus conscient de vos pensées, des actions que faites et des décisions que vous prenez, parce c’est vous qui les vivez.

Cela ne veut pas dire que vous devriez être l’avocat du diable. Non, pas du tout. Un avocat du diable est quelqu’un qui prend la position opposée à la sienne, pour les besoins du raisonnement.

Votre rôle n’est pas de vous opposer, mais d’examiner la validité de ce que vous faites (ou ne faites pas). Vous ne voulez pas vous nuire. Vous voulez cependant, vous améliorer et devenir meilleur. Être plus conscient et se lancer dans l’introspection est la clé pour s’en sortir.

Après avoir réalisé que certains de mes comportements passés étaient en réalité de l’auto-sabotage, aujourd’hui, je prends garde à ne pas tourner en rond. Par exemple, j’ai appris à partager des idées, même si elles ne pouvaient pas être complètement abordées, tant qu’elles apportent une valeur aux autres.

J’évalue constamment mes décisions pour m’assurer que je ne me piège pas moi-même. J’ai constaté que j’avais tendance à compliquer les situations, et à me rendre la vie plus dur inutilement. Donc c’est quelque chose sur laquelle je dois encore travailler.

2. Examinez vos pensées… et changez-les si elles vous sabotent

En assumant le rôle de maître de vos pensées, examinez celles qui traversent quotidiennement votre esprit. Gardez-vous des pensées qui sabotent vos intentions ?

Par exemple, imaginons que vous voulez enregistrer des vidéos et les mettre sur YouTube. Malgré tout, vous craignez de le faire parce que vous pensez que vos vidéos ne sont pas assez bien réalisées. Vous pensez d’ailleurs que personne n’irait s’embêter à regarder vos vidéos. Voilà rien que là, deux pensées d’auto-sabotage.

Ou imaginons que vous voulez travailler chez Forbes en tant que rédacteur d’actualités. Malgré tout, vous vous retenez de leur présenter votre CV, parce que vous pensez qu’ils ont beaucoup d’autres demandes pour cet emploi. Vous pensez probablement : “Je n’ai aucune chance d’être pris. Pourquoi leur présenter mon CV si je ne vais pas être pris ?”. Voilà deux autres pensées d’auto-sabotage.

Les pensées d’auto-sabotage sont comme des chaînes invisibles qui vous entravent et vous empêchent d’aller plus loin. Vous ne pouvez pas les voir, mais vous pouvez les ressentir. Si vous voulez arrêter de vous auto-saboter, vous devez éjecter de votre esprit ces pensées d’auto-sabotage. Rejetez-les. À leur place, intégrez de nouvelles pensées positives qui vous poussent à aller de l’avant.

Dites-vous par exemple : “Je suis capable d’être pris, mon CV vaut autant que celui des autres”. Changez le sens de vos phrases positivement. Vous retrouvez d’autres exemples de phrases dans la méthode Coué.

3. Examinez votre comportement lorsque vos actions vous sabotent.

Beaucoup de nos comportements sont des choses que nous faisons automatiquement, guidés par nos croyances, habitudes et pratiques du passé. En tant que maître de vos pensées, votre rôle est d’analyser votre comportement habituel pour repérer des actions d’auto-sabotage.

Je ne dis pas par exemple, que tous les introvertis doivent s’entraîner à devenir plus sociaux. C’est à chacun de décider cela. Ce que je dis c’est que ce que vous voyez comme un trait de caractère naturel, une habitude ou réaction, peuvent être de l’auto-sabotage sans que vous ne le réalisiez.

Il faut qu’une personne soit très consciente pour être en mesure de prendre du recul, d’évaluer son comportement et se dire : “Hé, peut-être que je peux découvrir autre chose en changeant mon comportement ?”

Prenez en compte votre comportement de tous les jours et posez-vous ces questions :

  1. Est-ce que ce comportement m’aide à atteindre mon/mes but(s) ? Ou bien au contraire m’entrave ?
  2. Si cela ne m’aide pas, quel comportement m’aiderait ?
  3. Comment puis-je modifier mon comportement actuel pour celui de la question 2 ?

Mettre en place ce nouveau comportement vous demandera un travail de recherche, probablement aussi un temps d’adaptation pour l’intégrer. N’hésitez pas à regarder ou demander aux autres comment ils font, cela vous ouvrira de nouveaux horizons sur ce que vous pouvez faire.

4. Comprendre pourquoi vous vous auto-sabotez (et démonter les raisons)

Il existe d’innombrables raisons pour lesquelles nous nous auto-sabotons. Peut-être parce que nous avons peur du succès. Peut-être parce que nous craignons de ne pas pouvoir le supporter lorsque nous l’atteindrons.

Peut-être nous craignons qu’il n’y ait rien d’autre après que nous l’ayons atteint. Peut-être que nous voulons que les choses restent simples. Peut-être que nous aimons rendre les choses compliquées. Peut-être que le malheur nous permet d’être réconforté par les autres et que nous voulons alors rester dans cet état.

Vous devez comprendre les raisons pour lesquelles vous vous auto-sabotez, sinon ces mauvais penchants reviendront au galop même si vous vous occupez de vos pensées et de vos actes d’auto-sabotage.

Imaginez ce scénario. Jean veut travailler en tant que développeur de jeux vidéos à Square Enix (un éditeur de jeux vidéos). Au départ, ses pulsions d’auto-sabotage l’avaient convaincu qu’il ne servait à rien d’envoyer son CV, puisque Square Enix n’aurait aucune chance de l’embaucher.

En travaillant dessus et avoir dépassé cette mentalité d’auto-sabotage, il envoya son CV et obtint un entretien d’embauche… à sa grande surprise. Malgré tout, pendant l’entretien, l’auto-sabotage revint à la charge en lui faisant commettre plusieurs erreurs grossières lorsqu’il parla de ses compétences, ce qui le dévalua grandement aux yeux des recruteurs. Au final, il ne parvint pas à obtenir cet emploi.

Ici, l’auto-sabotage de Jean lui a fait croire qu’il n’était pas à la hauteur de cette opportunité. Il avait tout ce qu’il fallait pour avancer sur la voie du succès, mais il s’est laissé prendre à la dernière minute par sa voix intérieure et a cru alors ne pas avoir ce qu’il fallait pour être embauché. Il pensera alors avoir vu juste : il a raté son entretien, donc il n’avait pas ce qu’il fallait. Bien sûr, au final ce n’était qu’une question de manque de confiance en lui.

Pour ma part, je me suis saboté moi-même dans la rédaction sur ce blog, parce que je craignais d’écrire des choses qui ne seraient pas utiles aux gens. Bien sûr, ce n’étaient que des pensées limitantes (voir le point n°2). Reconnaître les raisons qui m’ont poussé à garder ces fausses pensées, et les démonter une par une, m’a permis d’éliminer le comportement d’auto-sabotage à la racine.

Clore la boucle de l’auto-sabotage

Pratiquer ces quatre étapes ci-dessus régulièrement, surtout le dernier point, est essentiel pour couper l’herbe sous le pied de l’auto-sabotage.

Pour l’auto-saboteur chronique – je pense aux personnes qui procrastinent énormément – cela vous prendra un certain temps avant d’agir d’une manière qui soit plus alignée avec vos intentions, sans ces mécanismes d’auto-sabotage. Continuez à avancer sur cette voie, même si vous échouez de temps à autre.

Ce que vous avez à faire aujourd’hui, c’est de commencer à être plus conscient de vos pensées et actions jour après jour, grâce aux méthodes que j’ai partagé dans cet article. Bientôt vous trouverez votre comportement plus en harmonie avec vos désirs les plus profonds, et moins auto-contradictoires.

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Adam Fartassi
Adam Fartassi
Jeune hypnothérapeute passionné de développement personnel, je vogue sur le web pour vous transmettre les meilleures méthodes pour changer de vie. Visez l'excellence, et renouez aujourd'hui avec votre fabuleux potentiel !